La vie figée
Le manoir se dressait, astreignant, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les chemins envahies par les ronces, une constitution de cristal et métallisé résistait encore au époques : une serre oubliée, impénétrable à la suite un mur de végétation sauvage. Julien, un jardinier fervent